Quand on parle de grimpeurs, l’image qui vient souvent en tête est celle d’un coureur sec, élancé, avec une silhouette presque aérienne. Et dans ce registre, Aurélien Paret-Peintre coche toutes les cases. Il a ce physique qui semble littéralement sculpté pour les cols, ce genre de morphologie où chaque kilo compte, chaque centimètre pèse dans l’équilibre du vélo. Mais alors, quelle est la taille exacte d’Aurélien Paret-Peintre ?
Un gabarit équilibré pour la haute montagne
Aurélien mesure 1,80 mètre, une taille de cycliste assez standard parmi les grimpeurs modernes, ni trop petit, ni trop grand. Ce qui frappe surtout, c’est la proportion idéale qu’il affiche entre hauteur, poids et puissance. À 1,80 m pour environ 64 kg (voir plus de détails sur le poids d’Aurélien Paret-Peintre), il présente un rapport puissance/poids très favorable, ce qui en fait un coureur redoutable sur les pourcentages élevés.
Mais attention, il ne s’agit pas simplement d’un “petit gabarit qui grimpe”. Sa taille lui permet aussi de bien tenir dans le peloton, de prendre du vent quand il faut, et d’encaisser les efforts sur terrain roulant. On parle ici d’un profil morphologique complet, qui lui donne de la polyvalence dans la gestion de ses efforts.
Pourquoi sa taille compte autant dans son style de course
Dans le cyclisme moderne, la taille d’un coureur influence énormément sa manière d’aborder une course. Pour Aurélien, cela se traduit par une excellente capacité à gérer les changements de rythme. Il n’est pas aussi explosif qu’un puncheur de 1m68, mais il est capable de produire un effort soutenu sur la durée, avec une régularité presque métronomique.
Ce style très “diesel” correspond parfaitement aux longues ascensions alpines ou pyrénéennes. D’ailleurs, dans son style de course, on retrouve ce goût pour l’usure, pour les montées gérées à l’économie, pour les échappées où l’on dose l’effort sur plusieurs heures.
Et puis il y a aussi le facteur mental. Sa stature, assez droite sur le vélo, dégage une certaine sérénité. On le reconnaît de loin : grand, posé, toujours bien placé. Un gabarit rassurant, autant pour lui-même que pour ses coéquipiers.
Une taille qui reflète son évolution
Ce qu’on oublie souvent, c’est que la taille d’Aurélien Paret-Peintre n’a pas toujours été un avantage. Plus jeune, en catégories juniors, il faisait parfois face à des grimpeurs plus petits et plus vifs. Il a dû apprendre à utiliser ses atouts autrement : en gérant mieux ses efforts, en lisant mieux la course, en s’économisant dans les descentes et les bordures.
C’est cette progression méthodique qui fait aujourd’hui de lui un coureur aussi régulier. Dans son parcours complet, on retrouve cette logique d’adaptation permanente, où chaque détail compte : la nutrition, le matériel, mais aussi l’optimisation physique autour d’un gabarit bien spécifique.