Sur les pentes du Mont Ventoux, Valentin Paret-Peintre a offert un chef-d’œuvre. Son attaque, son souffle, son regard calme malgré la violence de l’effort… Tout respirait le sang-froid des grands. À seulement 23 ans, le grimpeur savoyard est en train de passer un cap. Et avec la notoriété vient une autre question, plus terre-à-terre mais tout aussi légitime : quel est le salaire de Valentin Paret-Peintre en 2025 ?
Une progression à la hauteur de ses performances
Jusqu’ici, Valentin évoluait chez Decathlon AG2R La Mondiale, où il avait signé son premier contrat pro. À ce moment-là, sa rémunération restait modeste, autour des 70 000 à 100 000 euros annuels, selon les estimations courantes pour un jeune coureur néo-pro français. Ce type de contrat correspond souvent à une phase d’apprentissage, avec des résultats qui déterminent la suite.
Mais voilà : entre ses solides performances en montagne, son intelligence de course et son profil de grimpeur-puncheur en devenir, Valentin s’est vite rendu indispensable. Au fil des mois, sa cote a grimpé. Et les équipes WorldTour l’ont remarqué.
Le grand saut chez Soudal Quick-Step
L’info est tombée comme une bombe début juillet 2025 : Valentin Paret-Peintre quitte AG2R pour Soudal Quick-Step, l’une des formations les plus prestigieuses du peloton. Ce transfert marque un tournant dans sa carrière, mais aussi dans sa rémunération de cycliste.
Même si le chiffre exact n’a pas été rendu public, plusieurs médias évoquent un contrat revu à la hausse. En rejoignant une team de premier plan, Valentin aurait signé pour plus de 350 000 euros par an, avec des primes de performance en complément. Ce montant le place dans le milieu de tableau des salaires chez Soudal, bien en dessous d’un Remco Evenepoel, mais largement au-dessus des jeunes coéquipiers en phase de développement.
Ce que ce salaire dit de son statut
Ce n’est pas seulement une histoire d’argent. Dans le cyclisme, le contrat reflète la place qu’occupe un coureur dans le projet d’équipe. Avec cette signature, Valentin n’est plus un simple soutien : il devient un élément central, un potentiel leader sur certaines courses vallonnées ou de montagne.
Sa capacité en tant que grimpeur, qu’on explore plus en détail dans l’article sur Valentin Paret-Peintre grimpeur, justifie pleinement cette montée en grade. Son endurance, son sens du placement et sa progression régulière font de lui un coureur “d’avenir”, le genre que les managers aiment verrouiller sur plusieurs années.
Une vie stable… loin des excès
Avec une rémunération annuelle à six chiffres, certains imaginent déjà une vie de luxe. Ce n’est pourtant pas le style de Valentin. D’après ceux qui le côtoient, il reste ancré, concentré sur sa progression, et fidèle à son environnement familial. Pas de démonstrations ostentatoires ni de caprices de star.
Et pour cause : son équilibre semble reposer sur des bases solides. Son entourage, notamment ses parents et son grand frère Aurélien, est toujours présent. Quant à sa vie personnelle, elle reste discrète : on ignore s’il est en couple ou s’il a des enfants. Une sobriété qui tranche avec l’image parfois bling-bling du sport pro.
Une trajectoire à suivre de près
Si tu découvres seulement maintenant le parcours de Valentin, je t’invite à explorer son portrait complet sur la page dédiée à Valentin Paret-Peintre. Tu y trouveras les clés de son style, son parcours amateur, et son tempérament de métronome.
Et ce n’est que le début. Son salaire actuel n’est sans doute qu’une étape intermédiaire. S’il continue sur cette lancée, avec des victoires et des classements prestigieux, il pourrait rapidement intégrer la catégorie des coureurs à un million d’euros.
