Sur les rampes escarpées du Mont Ventoux, Valentin Paret-Peintre a roulé avec une maturité bluffante. Et pourtant, c’est encore un tout jeune coureur, 23 ans au compteur, qui découvre les projecteurs d’un grand Tour. Si sa montée en puissance sportive attire tous les regards, une autre question revient souvent dans les discussions de fans : Valentin Paret-Peintre a-t-il des enfants ?
Un champion concentré à 100 % sur sa carrière
À l’heure actuelle, la réponse est simple : non, Valentin Paret-Peintre n’a pas d’enfants connus. Aucun média, pas même ceux qui ont consacré un portrait complet au coureur savoyard, comme RMC Sport ou Gala, n’évoque la présence d’un ou plusieurs enfants dans sa vie.
C’est cohérent avec le profil du cycliste. Très discret sur sa vie privée, Valentin n’a jamais communiqué sur un éventuel rôle de père. On retrouve ici la même pudeur que dans les interrogations autour de sa situation maritale : tout ce qui touche à l’intime reste soigneusement tenu à l’écart de la scène médiatique.
Une vie de famille solide… mais centrée sur ses origines
Cela ne veut pas dire que la famille de Valentin Paret-Peintre est absente de son quotidien. Bien au contraire. Dans l’article du Messager consacré à leur père Olivier, on comprend à quel point le socle familial joue un rôle structurant. Le papa est omniprésent, aux courses comme à distance, toujours à suivre les performances de ses fils.
Car oui, fils, au pluriel. Valentin est le petit frère d’Aurélien, coureur lui aussi, au sein de la même équipe. Ensemble, ils forment un duo soudé, complémentaire, porté par des années d’entraînement côte à côte. Leur relation, qu’on explore plus en détail dans la page dédiée aux frères Paret-Peintre, reflète une dynamique familiale particulièrement forte dans le milieu du cyclisme français.
C’est dans ce cadre qu’il faut comprendre l’importance de la famille Paret-Peintre dans leur développement respectif : soutien moral, accompagnement logistique, et transmission de valeurs comme l’humilité et la rigueur.
Le temps viendra peut-être… mais pas tout de suite
À 23 ans, alors que sa carrière commence à décoller à grande vitesse, il n’est pas étonnant que Valentin ne soit pas encore entré dans une vie de père de famille. La majorité des coureurs professionnels attendent souvent la fin de leur ascension sportive pour envisager une parentalité. Entre les stages à l’étranger, les compétitions de plusieurs semaines et les contraintes physiques extrêmes, la vie de cycliste est loin d’être compatible avec une vie familiale classique.
Cela dit, la question reviendra sûrement avec les années. Peut-être découvrira-t-on un jour un Valentin Paret-Peintre cycliste et père, capable de jongler entre les tours du monde et les couches à changer. En attendant, il semble concentré sur ses cols et ses objectifs à long terme.
Une trajectoire encore ouverte
Ce qui frappe chez lui, c’est cette capacité à rester focalisé sans jamais paraître rigide. Il avance à son rythme, sans brûler les étapes. Un équilibre qu’on retrouve dans sa gestion de l’effort, dans son tempérament calme, mais aussi dans sa façon de gérer la vie médiatique autour de sa famille. Et même si son entourage immédiat reste encore méconnu, on sait peu de choses sur sa sœur, par exemple, une chose est claire : Valentin s’inscrit dans une dynamique de fond, bâtie avec patience.
Aujourd’hui, son salaire de cycliste commence à refléter son potentiel. Et son nom, longtemps associé à son grand frère, s’impose peu à peu comme une référence à part entière.